Beauregard
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CAMBON André
LATOUR Philibert
MICHON François




 

 

LATOUR Philibert


Ses origines


Philibert LATOUR est né le 21/06/1880 à Beauregard.
Son père Philibert avait 42 ans et était charron.
Sa mère Suzanne née RAMUET avait 40 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Philibert LATOUR mesurait 1.67 m; il avait les cheveux blond et les yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 1 2 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Beauregard 1896 - Le bourg -


Liens Geneanet.


Au moment du conseil de révision Philibert LATOUR exerçait le métier de charron.
Il est ajourné 1 an en 1901 pour faiblesse; même chose en 1902.
Il est incorporé au 23e RI le 14/11/1903.
Il est libéré le 18/09/1904.
Sa mère décède le 25/08/1906 et son père décède le 18/08/1908.
Philibert LATOUR se marie à Villefranche sur Saône le 11/02/1909 avec Antoinette GREPPO demeurant à Villefranche et née à Anse le 11/03/1881 (décédée à Villefranche le 19/11/1953).


Recensement Beauregard 1911 - Le bourg -

Le couple ne semble pas avoir eu d'enfant.


Liste électorale Beauregard 1914.
 

La guerre

Philibert LATOUR est mobilisé le 11/08/1914 au 23e RI.
Il passe au 35e RI le 23/09/1914.
Il est tué le 5/07/1915 à la ferme de Confrecourt sur la commune de Berny Rivière dans l'Aisne.
Il a eu la Médaille militaire le 10/08/1920 : "Brave combattant et bon soldat; tué à l'ennemi le 5/07/1915 à la ferme de Confrecourt en faisant vaillamment son devoir."
Il est inhumé à la nécropole nationale de Tracy-le-Mont (60 - Oise, France) tombe 14 carré H.

Historique du 35e régiment d'infanterie

Dont extraits : Après un court séjour à l'arrière, le 35e retourne devant Vic-sur-Aisne, et s'installe au secteur de Vingré, Confrecourt qu'il garde jusqu'à fin juillet. Un labeur incessant fait de cette ligne une forteresse de premier ordre dont, pas un instant pendant six mois, les Allemands n'ont eu la curiosité de tâter la solidité. Mais la guerre de mines se développe sournoise et perfide, et, avec elle, l'usage des engins de tranchée. L'air se peuple à chaque instant de ces monstres aux sifflements sinistres et divers et que l'imagination de nos poilus a dotés de noms si pittoresques.


Extraits des pertes du 35e RI