Boz
(Accueil)

BONNAND Philibert
BONNAND Pierre Nicolas
BOYAT Théodore Paul
COLIN Maurice Léon
COUDURIER-CURVEUR R
DAUJAT Jules Louis
DELISLE Eugène
DESMARIS Alexandre
DUBUC Hippolyte
GUDEFIN Noel
JOUBERT LAURENCIN A
JOUBERT-LAURENCIN C
MARTIN Pierre Marie
NILLON Etienne
PAQUET Alphonse Célestin
PAQUET Raphael Pierre
PARRIAUD Auguste Jean
PERRON Louis Michel
PIN Claude Marie Célestin
PIN Louis René Michel
RENOUD-MARTIN Alphonse
RENOUD-MARTIN Henri
RENOUD-MARTIN Louis
RENOUD-MARTIN Pierre
SAUNIER Pierre Marie






 

 

MARTIN Pierre Marie


Ses origines

Pierre MARTIN est né le 23/10/1895 à Boz.
Son père Claude Etienne avait 26 ans et était cultivateur.
Sa mère Marie Léontine née BARBIER avait 21 ans.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Pierre MARTIN mesurait 1.6 m; il avait les cheveux noir et les yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 2 : sait lire et écrire.

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Boz 1911 - Nievres -

 - Pierre Claudius Marcel né le 1/06/1898 à Boz; marié le 6/01/1921 à Boz avec Germaine GIROUD née le 22/03/1921 à Boz; remarié le 12/06/1936 à Boz avec Irma Pauline Claudia GUYENNON DUCHENE; décédé le 29/04/1980 à Macon.


Au moment du conseil de révision Pierre MARTIN exerçait le métier de cultivateur.

La guerre

Pierre MARTIN est incorporé à compter du 16/12/1914 au 15e bataillon de chasseurs à pied.
Il passe au 107e BCP le 12/05/1915 puis au 67e BCP le 4/02/1916.
Il est tué à Sailly Saillisel (Somme) le 25/10/1916.
Il est inhumé au cimetière de Boz.


Cimetière de Boz
Cliquez sur l'image pour agrandir.

Historique du 67e bataillon de chasseurs à pied

dont extraits : Le 24 août, il mène une vive attaque de nuit qui cause à l'ennemi des pertes sérieuses.
Le 12 septembre, le bataillon occupe la position dite des Berlingots et le 1 passe à l'attaque. Malgré une furieuse résistance, il parvient à progresser; ses pertes sont cruelles; le commandant Monnet est tué, 150 hommes sont hors de combat; sous les ordres du capitaine Vincens il s'organise cependant sur la position conquise et parvient à la conserver en dépit des efforts de l'ennemi. Relevé le 15, après un court repos à Forges-les-Eaux, le bataillon relève à son tour le 152e régiment d'infanterie à Sailly-Saillisel le 18 octobre et participe le jour même à l'enlèvement de la tranchée du Batack et au nettoyage du village de Sailly.
Malgré ses pertes (220 hommes) il organise puissamment le secteur jusqu'au 27 octobre, repousse une forte attaque le 20, 3 et 21 et assure intégralement la possession du terrain conquis par sa vaillance.