Feillens
(Accueil)

BERCHARD Joseph
BERCHARD Laurent
BERNET Antoine
BERNOLLIN Alphonse
BERNOLLIN Antoine
BERNOLLIN Tony
BERRY Antoine Claude
BERRY Henri Benoit
BERRY Henri Laurent
BERRY Paul Louis Joseph
BILLOUDET Alphonse Jean
BONNAT Antoine
BONNETAIN Benoit Vincent
BUATHIER Claude
BUATHIER Jean Marie
CATHERIN Alphonse
CATHERIN Alphonse Claude
CATHERIN Benoit Victor
CATHERIN Francisque
CATHERIN Gaston Antoine
CATHERIN Jean
CATHERIN Joseph
CATHERIN Joseph Jean
CHAMBARD Jean
CHANUT Tony
CHAVY François Claude
CORDENOD Benoit
COUTURIER Benoit
COUTURIER Benoit
COUTURIER Benoit Joseph
COUTURIER Ernest Aimé
COUTURIER Georges
COUTURIER Jean Marie
COUTURIER Joanny
COUTURIER Joanny Joseph
COUTURIER Marius F
COUTURIER Philibert
COUTURIER Tony
DESCHAUX Jean Marius
DRIVET Raoul
DUBY François Bernard
DUBY Joanny
FORAY Ernest
FREAUD Claudius
FROMENT Jean Joseph
GALLION Philibert
GALLION Philibert
GIVORD Claude Jean B
GONNOD Félix Jean
GONNOD Joanny
GONNOD Philibert
GONOD Alexandre Louis
GONOD Benoît Joseph
GRANGER Jean Claude
GRANGER Jean Marie
GRANGER Jean Marie
GRANGER Joanny
GRANGER Joseph
GRANGER Marius Philibert
GRANGER Philibert
GRANGER Philippe
GRANGIER Adrien Louis
GUILLON Joanny
JOLY André
JOLY François
JOLY Laurent
JULLIN Emile
JULLIN Joseph
LACOUR Philibert
LAY François Jean Marie
LAY Joseph Claude
LOMBARD François Bernard
LOMBARD Philibert
MATHERON Albert Claude
MONTERRAT Auguste
MONTERRAT Jean André
MOREAU Marius
NOBLET Claude
NUGUE Jean Marie
PARIZET Laurent Marius
PERDRIX Claude
POMMEREL Philibert
ROCHET Claudius
ROSSET Georges Louis
RYON Laurent
VAILLANT Jean Marie






 

 

GALLION Philibert


Ses origines


Philibert GALLION est né le 3/07/1884 à Feillens au hameau de Ternant.
Son père Benoit avait 31 ans et était cultivateur.
Sa mère Catherine née CATHERIN avait 28 ans.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Philibert GALLION mesurait 1.68 m; il avait les cheveux et les yeux brun.
Au niveau instruction générale il est classé 1 2 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Feillens 1896 - Ternant -

 - Francine née le 4/05/1882 à Feillens au hameau de Ternant; mariée à Feillens le 14/09/1904 avec Benoit DUBY.
 - Jean Louis né le 22/08/1886 à Feillens au hameau de Ternant; marié à Manziat le 6/11/1910 avec Marie Rosalie Adèle FERRAND; décédée le 30/08/1966 à Bourg en Bresse.
 - Isabelle Elisabeth née le 8/05/1888 à Feillens au hameau de Ternant; mariée à Feillens le 4/02/1907 avec Claude Marie LAY.
 - Marie Eléonore née le 9/11/1889 à Feillens au hameau de Ternant; mariée à Feillens le 4/01/1911 avec Jean Marie André PAGNON; décédée le 8/02/1976 à Feillens.

Au moment du conseil de révision Philibert GALLION exerçait le métier de cultivateur
Il est incorporé au 2e régiment de Dragons le 9/10/1905.
Il est libéré le 12/10/1907.


Recensement Feillens 1911 - Ternant -
 

La guerre

Philibert GALLION est mobilisé le 3/08/1914 au 23e RI.
Il passe au 230e RI le 1/06/1916.
Il est tué le 5/02/1917 aux Chambrettes dans le secteur de Verdun.
Il est inhumé à la nécropole nationale Bevaux VERDUN (55 - Meuse) tombe 817.

Historique du 230e régiment d'infanterie.

dont extraits : Le jour même de son arrivée (2 février 1917), le 230e est dirigé en camion sur Verdun pour prendre position dans le secteur des Chambrettes. Dès les premières reconnaissances on se rend compte des grosses difficultés qu'il faudra vaincre ; ces positions conquises le 15 décembre ne sont encore formées que d'une succession de trous d'obus à peine reliés entre eux. sans abris, sans boyaux, sans défenses accessoires. C'est la même situation qu'en septembre ii Vaux-Chapitre, mais tout est rendu singulièrement plus dur par une température qui descend à plus de 25° au dessous de zéro.
Les travaux sont impossibles, la pioche rebondit sur le sol qu'elle entame à peine, les aliments sont gelés, impossible de se procurer ni abri,
 
nt feu, ni alimentation chaude. Le vin lui-même gèle et l'on voit des hommes emportant dies glaçons dans des sacs à terre. Les régiments qui nous avaient précédés dans le secteur n'y restaient guère plus de quinze jours ; le nôtre y passa un mois et soutint au moment de sa relève une attaque en force de l'ennemi. Dès le 25 février on relève une activité anormale dans les lignes adverses