Garnerans
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FAVRE Claude Benoit Marie


Ses origines

Claude FAVRE est né le 4/03/1893 à Garnerans.
Son père Joseph Marie avait 39 ans et était cultivateur.
Sa mère Jeanne Marie née PIN avait 36 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Claude FAVRE mesurait 1.64 m; il avait les cheveux et les yeux châtain.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Garnerans 1901 - Le bourg -

 - Joseph né le 20/03/1880 à Grièges; marié le 8/11/1906 à Saint Didier sur Chalaronne avec Marie Antoinette GOIFFON; se remarie (veuf) à Saint Jean sur Veyle en 5/02/1910 avec Marthe Marie Madeleine DUBOST.
 - Jeanne Marie Joséphine née le 22/08/1881; mariée avec Jean Claude THOMASSON le 9/05/1903.
 - Benoit Raphael né le 16/11/1882; décédé le 23/11/1969 à Messimy.
 - Jeanne Marie Christine née le 9/02/1884; mariée le 27/05/1905 avec Jean Marie MIFFLET; décédée le 26/03/1973.
 - Marie Alphonsine née le 3/04/1886; marié le 8/11/1906 avec Jean Claude BERTHILLIER; décédée le 19/02/1973.
 - Georges Marie Prosper né le 25/06/1889.
 - Anne Marie Joséphine née le 26/07/1887; mariée le 10/05/1908 avec Jean Marie JACON.


Au moment du conseil de révision Claude FAVRE exerçait le métier de cultivateur.
Il est incorporé à compter du 27/11/1913 au 7e escadron du train.
 

La guerre

Claude FAVRE passe au 47e régiment d'artillerie le 9/09/1915.
Il est tué le 9/05/1916 à Verdun.
Il est inhumé à la Nécropole Nationale Belleray (Meuse) tombe 556.
 

47e régiment d'artillerie

dont extraits :

Ce répit ne devait être que de courte durée, car, dans les premiers jours d'avril 1916, le régiment était reporté avec la 14e division dans le secteur d'Eix-Damloup, au N.-E. de Verdun, pour défendre le fort de Vaux. Comme la première fois, le 47e fit copieusement payer à l'ennemi ses attaques de tous les jours. Le capitaine POUILLEY, commandant la 3e batterie, reçut une sérieuse blessure, le 29 avril, dans son observatoire installé sur les pentes nord du fort de Souville. Mais ce fut surtout le 2e groupe qui eut les honneurs de cette deuxième campagne de Verdun. Par une manœuvre audacieuse, exécutée au milieu de mai 1916, les pièces de ce groupe furent portées à 1.000 mètres des lignes pour battre, par un tir d'écharpe, les angles morts du fort de Vaux. L'ouvrage était sauvé.