Guereins
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ROCHE Jean Louis


Ses origines


Jean Louis ROCHE est né le 22/09/1882 à Villé Morgon.
Son père Jean Marie avait 36 ans et était cultivateur.
Sa mère Marie née DEPARDON avait 25 ans.
La famille habitait au hameau des Vachats.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
jean Louis ROCHE mesurait 1.69 m; il avait les cheveux châtains et les yeux bleus.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre


Sa fiche du conseil de révision indique la profession de viticulteur.
Au moment du conseil de révision il habitait à Villié Morgon.
Jean Louis ROCHE est considéré comme soutien de famille.
Il est intégré au 109e régiment d'infanterie à compter du 14/11/1903.
Il est libéré le 22/09/1904.
Jean Louis ROCHE se marie à Thoissey le 14/01/1910 avec Marie Louise CORNIER demeurant et née à Thoissey le 16/10/1881.
Il s'installe à Guéreins le 20/02/1912.


Liste électorale Guéreins 1914.
 

La guerre


Jean Louis ROCHE est mobilisé le 3/08/1914 au 371e régiment d'infanterie.
Il est tué au combat du piton nord ouest de Florina (Macédoine) le 24/09/1916.

 

Historique 371e régiment d'infanterie

dont extraits :

EN SERBIE – MONASTIR.
Le 1er septembre, le 371e relevé à Dova-Tépé par un régiment italien, allait camper à Kukuss pour s'embarquer en chemin de fer à Sarijol, à destination de Verria où il arrivait dans les premiers jours du mois. C'était la nouvelle offensive qui commençait vers le camp retranché de Monastir, redoutablement organisé pendant l'hiver par l'armée germano-bulgare et puissamment défendu par une artillerie de gros calibre.
Dès le 18 septembre, le 371e est engagé dans la région de Florina.
En réserve immédiate pendant l'attaque de Florina, il enlève le 18 septembre le village d'Armensko et la côte 916, pour assurer la liaison avec le col de Pisoderi.
Le 20, il relève à Florina le 175e R. I., entame jusqu'au 28 une série de pressions qui refoulent de plus en plus les Bulgares vers les crêtes d'où ils tiraient dans l'intérieur de la ville.
Au moment où, le 30 septembre, il était remplacé dans ses positions par le 35e R. I. Coloniale, les Bulgares abandonnaient leurs premières lignes et se repliaient sur les lignes de Gradesnika, Lazecet Kenafi.

 

 

Florina