Jassans Riottier
(Accueil)

BADEZ Pierre Camille
BARATIN Antonin
BARNY Henri
BELTON Henri Joseph
BERGERON Jean Antoine
BERITON Joseph Désiré
BERNE Jean Marie Joseph
BRUN Jean François
CALTON Marie Joseph
CHABERT André
CHAMBARD Antoine
COLLET André
CURTET Pierre
du VERNE Louis Albert
FAVROT François
HUMBERT Jean
HUMBERT Jean Marie
MALLET Claudius
MASSON François
MAZUIR Félix
MICHEL Claude
MICHON Claude
MONNET Charles
MONNIER Joseph
MONTAGNIER Hugues Claude
MORAND Claude
MOREL Joseph
PATIN Antoine
PEDUZZI Philippe
PERÊME Edouard
PERRIER François
PERROCHET Charles
THIBAUD Marius
THIVENT Jules
VOLANT Jean


 

 

BERITON Joseph Désiré


Ses origines

Joseph Désiré BERITON est né le 28/02/1894 à Jassans au hameau de la Roche.
Son père Antoine avait 28 ans et était cultivateur.
Sa mère Elisa née CACAUD avait 24 ans.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Joseph Désiré BERITON mesurait 1.64 m; il avait les cheveux blond et les yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 2 : sait lire et écrire.

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Jassans 1906 - Riottier -


Recensement Jassans 1911 - Riottier -



Vers liens Geneanet des frères et soeurs.

Au moment du conseil de révision Joseph Désiré BERITON exerçait le métier de cultivateur.
 

La guerre

Joseph Désiré BERITON est incorporé au 15e bataillon de chasseurs à pied le 5/09/1914.
Il passe au 31e bataillon de chasseurs à pied le 5/12/1914.
Il disparait le 4/03/1915 au secteur de Lorette.
Son décès est fixé à cette date par le tribunal de Trévoux le 11/08/1920.

Historique du 31e BCP

Dont extraits : C'est le 22 janvier que le Bataillon monte pour la première fois dans le secteur nord de la colline de Notre-Dame-de-Lorette. La vie y est rude : on est au contact, à 50 mètres : les guetteurs sont à l'affût à 15 mètres. Regarder par-dessus le parapet, c'est la mort : partout la balle vous guette, claque, va chercher les têtes même derrière les créneaux. Et l'on continue de se rapprocher. Le plateau est battu terriblement, sans répit. Obus de tous calibres, en rafales rageuses ou par coups réguliers qui semblent rythmer l'oeuvre de mort : bombes et torpilles, engin nouveau-nés dont le fracas déchirant tord douloureusement les nerfs, trouble les cervelles. Chaque jour, on relève des morts et des blessés nombreux.


Cimetière de Jassans
Cliquer sur l'image pour agrandir.