Saint André d'Huiriat
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BAS dit NUGUES Jean Marcel


Ses origines


Jean Marcel BAS est né le 31/08/1897 à Saint André d'Huiriat au hameau des Maholières.
Son père Pierre Jean Marie avait 45 ans et était cultivateur.
Sa mère Françoise née VERNATON avait 28 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Marcel BAS mesurait 1.62 m; il avait les cheveux noir et les yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint André d'Huiriat 1911 - Hameau de Bois Plan -


Bois Plan

 - Charles Jean Marie né le 19/01/1891; marié le 14/12/1915 à Cruzilles lès Mépillat avec Martine Philiberte ?.


Au moment du conseil de révision Jean Marcel BAS exerçait le métier de cultivateur.
 

La guerre

Jean Marcel BAS est engagé volontaire pour la durée de la guerre le 12/07/1915 au titre du 4e régiment d'infanterie coloniale.
Il est tué le 28/02/1916 à Fontaine les Cappy (Somme).

4e régiment d'infanterie coloniale

dont extraits :
Le 10 janvier, le régiment part pour rejoindre le Corps d’Armée Colonial, au camp de Crévecœur. Tout le corps d’armée manœuvre en mettant à profit les enseignements de la dernière offensive de Champagne. Relevé le 25, pour aller occuper un secteur de la Somme, le régiment est arrêté en route pour servir de réserve lors de l’affaire de Frise, où il n’a pas à intervenir, puis le 31 janvier il occupe le secteur de Maucourt qu’il tiendra 19 jours, tenant continuellement l’ennemi en haleine par ses patrouilles et ses engins de tranchées. Il est relevé, reste 5 jours à l’arrière et va occuper le secteur du Bois-Commun et du saillant Philippi, dans la Somme, pendant 10 jours.
Pendant un mois, il passe des périodes alternées de six jours, aux travaux d’organisation et à l’instruction. Puis il remonte en ligne à Fontaine-lès-Cappy, réussit à faire sauter une mine, et travaille hâtivement à préparer l’offensive en exécutant tous les travaux nécessaires et en maintenant l’esprit offensif par des coups de main fréquents pendant que l’ennemi est obligé de se terrer. Il est ramené à l’arrière, au repos complet, en vue de l’attaque prochaine et le 26, il se rapproche des lignes.