Saint Bénigne
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COUDURIER CURVEUR Alphonse Pierre Marie
 


Ses origines

Alphonse COUDURIER CURVEUR est né le 10/10/1896 à Saint Bénigne au hameau des Bonots.
Son père Pierre Marie Joseph avait 24 ans et était cultivateur.
Sa mère Anaïs née BORDAT avait 22 ans.
Ses parents se sont mariés le 12/11/1895 à Saint Bénigne.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Alphonse COUDURIER CURVEUR mesurait 1.62 m; il avait les cheveux châtain et les yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 2 : sait lire et écrire.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint Bénigne 1906 - Ternant -




Recensement Saint Bénigne 1911 - Ternant -

 - François Joseph né le 22/01/1903 à Saint Bénigne au hameau des Bonots; marié à Sermoyer le 18/12/1924 avec Marie Hortense PEPIN; décédé le 26/09/1974 à Saint Bénigne.

Au moment du conseil de révision Alphonse COUDURIER CURVEUR exerçait le métier de cultivateur.
 

La guerre


Alphonse COUDURIER CURVEUR est incorporé au 11e régiment de chasseurs à cheval le 9/04/1915.
Il décède le 14/11/1916.
Il est inhumé au cimetière du bois d'Hauzy à Melzécourt commune de Vienne la Ville.

Historique du 11e régiment de chasseurs à cheval

dont extraits : En octobre, le corps d'armée est ramené dans un secteur réputé tranquille en Argonne.
Les 1er et 3e escadrons viennent avec lui occuper des tranchées dans le bois de Hauzy.
Les 2e et 4e, qui ont quitté la Somme avec la 48e D. I., font le même service dans le secteur de Nomeny.
Les 5e et 7e escadrons, affectés à la 74e D. I., sont dans la région de Verdun.
Pendant cette période le régiment, dispersé sur un vaste front, s'initie aux nouveaux procédés de combat, en occupant des tranchées pour diminuer le service des admirables camarades de l'infanterie si souvent à l'épreuve. Le 11 novembre, son étendard reçoit des mains du général GOURAUD, commandant la IVe armée, la croix de guerre avec palme qui lui avait été décernée pour la brillante conduite du régiment en septembre 1915.
Fiers de cette distinction, les poilus du 11e chasseurs, entraînés plus que jamais, sont prêts à l'attaque.