Saint Bernard
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REY François Joseph


Ses origines

François Joseph REY est né le 23/10/1884 à Lyon 1er au 12 rue Griffon.
Son père Joseph avait 31 ans et était employé de magasin.
Sa mère Marie Rose Philomène née TRONCHON avait 25 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
François Joseph REY mesurait 1.78 m; il avait les cheveux châtain et les yeux gris.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre


Au moment du conseil de révision François Joseph REY  exerçait le métier de tisseur en soie.
Il est engagé volontaire pour 4 ans le 8/10/1904 au titre du 97e RI.
Il est nommé caporal le 23/09/1905, sergent le 25/08/1907.
Il passe dans la réserve le 8/10/1908 et se retire à Saint Bernard.


Recensement Saint Bernard 1906 - Le Carré -

François Joseph REY se marie à Trévoux le 13/11/1911 avec Marie Louise PELLETIER demeurant à Trévoux et née à Bourg en Bresse le 29/08/1893.


Recensement Saint Bernard 1911 - Le Carré -

Le couple a eu un fils Georges Marius Joseph né à Trévoux le 22/08/1913; marié à Trévoux le 27/03/1937 avec Jeanne FAUDEL; décédé à Lyon 2e le 2/03/1962.


Liste électorale Trévoux 1914.
 

La guerre

François Joseph REY est mobilisé le 2/08/1914 au 223e RI.
Il décède de ses blessures à Vého le 20/06/1915 à 14 h; il a eu l'estomac perforé par balle.
Il est inhumé au cimetière de Trévoux.
Son nom figure également sur le monument aux morts de Trévoux.

Historique du 223e RI.

dont extraits : En juin 1915, le Régiment est transporté dans le secteur Reillon, Leintrey, Vého (16 kilomètres est de Lunéville).
Dans la nuit du 19 au 20 juin, les deux bataillons attaquent les organisations ennemies situées à cheval de la route Reillon-Gondrexon (bataillon DUNOD), jusqu’à la cote 293 incluse (bataillon BERTHELOT). Malgré la bravoure déployée, au petit jour les objectifs ne sont pas tous atteints et l’ennemi contre-attaque avec ses réserves. Le 223e se cramponne au terrain et conserve ce qu’il a conquis dans la nuit. En fin de journée, une brillante charge à la baïonnette, à laquelle participent un peloton de la 20e compagnie, la 23e compagnie, permet à nos troupes de briser la résistance ennemie et de faire de nombreux prisonniers. Le 223e s’installe dans les tranchées allemandes et organise rapidement ses nouvelles positions pendant les jours suivants.


JMO du 223e RI








Extrait des pertes du 223e RI