Le tramway de Trévoux à Saint Trivier de Courtes
Le Conseil général de l'Ain fait étudié en
avril 1890 la création de quatre lignes de « tramway à vapeur sur route » dont
celle de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes.
Après étude une ligne à voie métrique (largeur 1 m) de 80 km est créée entre
Trévoux et Saint Trivier de Courtes.
La Société anonyme des Chemins de fer Economiques du Sud-Est (ESE), est fondée
en 1897 par Monsieur
Joseph JEANCARD.
La ligne est concédée au département par décret en 1894 et rétrocédée à Monsieur
Joseph JEANCARD la même année.
L'ESE ouvre une voie de « type tramway » en accotement des routes. La compagnie
l'exploite jusqu'à la reprise par la régie des Tramways de l'Ain à partir de
1920.
LES CARACTERISTIQUES DU
RESEAU
Source : wikipedia.org |
La Société anonyme des Chemins de fer
économiques du Sud-Est (ESE) ouvre les lignes suivantes : Saint-Laurent - Saint-Trivier-de-Courtes, 30 km, ouverte en 1897, fermée en 1936. Trévoux - Jassans, 6 km, ouverte en 1897, fermée en 1936 Jassans - La Madeleine, 43 km, ouverte en 1898, fermée en 1936 Jassans - Bourg-en-Bresse ESE, 47 km : - Jassans - Châtillon-sur-Chalaronne, ouverte en 1897, fermée en 1937. - Châtillon-sur-Chalaronne - Bourg-en-Bresse ESE, ouverte en 1898, fermée en 1937. Chaix 1914 |
Chaix 1914 |
On peut prendre un coefficient approximatif de 4 pour donner une valeur "2018" en euros. Exemple : Trajet Trévoux - Jassans 0.35 F en 2e classe soit 1.40 €. Le salaire moyen par semaine d'un ouvrier était d'environ 20 à 25 F. Source : trains-fr.org |
LE CIRCUIT
TREVOUX
JASSANS
Cliquer sur l'image pour agrandir (www.en-noir-et-blanc.com) |
Cliquer sur l'image pour agrandir (www.en-noir-et-blanc.com) |
BEAUREGARD
FAREINS
Cliquer sur l'image pour agrandir (tramdelain.fr) |
La gare est devenue une maison d'habitation au 1987 RD 933. - Google Earth - |
MESSIMY
Geneanet La vue semble être prise de la sortie du village coté Beauregard; on distingue en effet le clocher du village sur la droite. |
Détail photo. Vue actuelle |
MONTMERLE
Clément Roger |
Vue actuelle |
GUEREINS
(ladombes.free.fr) |
De nos jours |
GENOUILLEUX
Cliquer sur l'image pour agrandir |
Genouilleux (Archives de l'Ain) La voie du tram sur la gauche. |
Genouilleux de nos jours (2018) - Google Earth - |
MOGNENEINS
Site de la commune de Mogneneins (vue de l'ancienne gare où se trouve la plaque commémorative de Jean CARRE. |
Vue actuelle - Google Earth - |
THOISSEY
http://ladombes.free.fr (sens : arrivée à Thoissey)
La gare de Thoissey, toujours visible, sur la route qui
conduit à Mogneneins depuis le pont de l’Hôpital. |
Rue du Faubourg (Rails du Tram) |
La gare de nos jours (sens : départ de Thoissey). La gare se trouve à gauche; on reconnait le petit pigeonnier de l'autre coté de la route. |
Article
Le Progrès du 17/08/2016 Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, et durant le premier quart du XXe siècle, les marchés et foire ont largement contribué à faire de Thoissey un centre important de commerce et d’échanges. En 1866, le conseil municipal se trouve même dans l’obligation de réglementer l’emplacement de chaque corps de métiers et de chaque commerce. Une nécessité, au retard des désordres causés par le flot de marchands et de forains qui, à l’époque encore, se disputent les meilleures places, semant désordre et confusion, au grand dam des habitants. Ainsi, à partir du 1er janvier 1867, « la tenue des foires et marchés aura lieu de la façon suivante », décident les élus de l’époque. La place du Faubourg (actuellement place des Dombes) est affectée exclusivement aux marchands de chanvre, œuvres et fils, aux bouchers forains et aux marchands de fruit (cette place s’appellera d’ailleurs, durant un temps, la « place aux Fruits »). Les conseillers municipaux précisent que « le marché aux comestibles, lait, beurre, œufs, volailles… en panier tenu au bras, aura lieu rue du Faubourg. De même les mégissiers, marchands de chapeaux de paille, de souliers, de sabots, seront eux aussi cantonnés à la rue du Faubourg. On apprend par ailleurs que les coquetiers trouvaient refuge place du Collège. Les marchands de porcelaine et de cristaux, les colporteurs de bimbeloterie aussi. Quant aux jardiniers et pépiniéristes, c’est la rue du Four (actuelle rue de l’Église) qui leur était affectée, ainsi qu’aux marchands d’échelles, râteliers, balais, bennes et baquets. |
La gare est devenue une coquette petite maison d'habitation. |
Enfin, la rue
du Port (actuelle rue du Beaujolais), était destinée aux marchands de
paille. On mesure à lire ces différents métiers toute l’ampleur des foires et marchés thoisseyens. Il y avait encore, dûment placés, les marchands de bois, les marchands de bestiaux (accueillis au Champ de Foire), sans compter que « chaque habitant » pouvait « étaler devant chez lui les marchandises de son commerce ». |
SAINT DIDIER SUR CHALARONNE
Recensement Saint Didier sur Chalaronne 1911.
GARNERANS
Cliquer sur l'image pour agrandir (wikimédia) |
La ligne desservait la gare de Garnerans, quittait la route pour traverser l'Avanon par un pont de 6m puis recoupait le G.C.28 pour desservir en site propre les gares de Cormoranche et Grièges. Texte de tramdelain.fr |
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Les Leynards à Garnerans - Google Earth - |
CORMORANCHE SUR SAONE
Arrivée à Cormoranche sur Saône |
ladombes.free.fr La route desservant, entre autres, le lotissement Mabertin, s’appelle route du Tram. C’est le seul souvenir d’une époque où le village possédait une gare « réputée pour sa convivialité, avec un abri et un café buffet digne de ce nom », selon certains écrits. Ouverte en 1897, la ligne Saint-Trivier-de-Courtes/Trévoux était aussi appréciée pour le transport des marchandises et du courrier. La gare, qui a ensuite été un lieu de rencontre des enfants, a été détruite vers 1950. Le café est devenu une confortable habitation. Article le Progrès 3/01/2017. |
Le Progrès 3/01/2017 |
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Le Progrès 3/01/2017 |
GRIEGES
.en-noir-et-blanc.com |
cparama |
Les vestiges de la petite gare de Grièges. - Google Earth - |
- Google Earth - |
LAIZ
Le tramway rejoignait la route vers les Dimes où se trouvait la halte de Laiz. |
Le Progrès 18/09/2016 La scierie de Laiz et l’ancienne salle des fêtes sont depuis le début de semaine la proie des engins de chantier afin de faire place nette. Une action qui devenait urgente, vu le très mauvais état de centaines de toitures en tôle ondulée qui menaçaient de s’envoler lors d’un fort coup de vent. Ces anciens bâtiments et le terrain appartiennent au conseil départemental et sont en réserve pour le passage de la déviation de Pont-de-Veyle et le raccordement à la route de Thoissey. Le quartier se transforme au fil du temps. Le quartier en cours de démolition a connu plusieurs bouleversements. Le début de sa prospérité fut la conséquence de la construction du « chemin de fer à voie étroite » surnommé « le Tacot » qui reliait Saint-Trivier-de-Courtes à Trévoux, Laiz ayant difficilement arraché la construction d’une gare aux Dîmes. Commerces et hôtels se développèrent mais aussi des ateliers. Les Établissements Mallet, du nom de son créateur, y construisaient du matériel agricole. Jean-Benoît Maillet, dit Joanny né à Laiz en 1878, ingénieur arts et métier de Cluny et à l’esprit très inventif y construisit de nombreuses machines agricoles dont une moissonneuse-lieuse et des appareils « vignerons ». Il était lui-même viticulteur possédant le vignoble des Fromentaux. Par la suite, ces bâtiments devinrent pour partie la salle des fêtes en 1945 durant plus de cinquante ans et une corderie puis une scierie et fabrique de moellons. Ces activités se sont éteintes, il y a quelques années, les bâtiments se sont délabrés, conduisant à leur destruction. |
PONT DE VEYLE
REPLONGES - LA MADELEINE
La gare du tramway du Sud Est de la Madeleine à Replonges (ladombes.free.fr) |
Vue actuelle |
Le Creux (ladombes.free.fr) |
Vue actuelle - Google Earth - Autres cartes postales anciennes - Replonges - |
Recensement Replonges 1911 - Le Creux - |
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BAGE LE CHATEL (ligne Replonges - Montrevel)
archives départementales |
Tracé de la ligne Saint Laurent - Replonges - Bourg en Bresse. La compagnie des tramways de l'Ain est créé en 1906, par M. Vial. Cette compagnie, dont le siège est à Lyon, ouvre plusieurs lignes, développant 174 km de voies métriques avec un tracé le plus souvent le long des routes. La voie Montrevel - La Madeleine de 22 km est ouverte en 1913 et fermée en 1936. |
archives départementales de l'Ain La ligne abandonnait l'accotement de la D28 pour contourner Bagé le Chatel desservi par une gare de première classe jouxtée d'un hangar de marchandises. La gare de 1ère classe, c'est-à-dire avec un logement, existe toujours un peu à l'écart du Chemin de ronde; elle est devenue une maison d'habitation; elle est située à proximité de la maison familiale rurale. (Remerciements à Michel BALANDRAS de Bagé le Châtel pour les renseignements fournis). |
Site internet de la commune. La ligne Montrevel - Replonges |
Vue actuelle |
BAGE LA VILLE (ligne Replonges - Montrevel)
CPArama |
Route de Dommartin Vue actuelle (panneau intérieur 1 - panneau intérieur 2) Carte complète (vue du mur en gros plan). |
FEILLENS
tramdelain.fr |
Vue actuelle |
CPArama : Feillens dans le sens Pont de Vaux - Replonges A gauche Café LUCET. |
Vue actuelle Ce site présente une série de cartes postales anciennes de Feillens dans l'Ain. |
Recensement Feillens 1911 - le bourg - |
MANZIAT
Gare de Manziat (tram dans le sens Pont de Vaux - Replonges) - Archives de l'Ain - |
Vue actuelle - Google Earth - "L’emplacement de la gare, envisagé d’abord aux Mamons, puis au centre du bourg, en face de la place du Marché, avait finalement été décalé un peu plus au Nord, à Cossiat. Comme on le voit sur le cliché du début du XXe siècle, on pouvait fréquemment croiser des vaches qui déambulaient sur la chaussée. Quant aux bâtiments longeant la route principale, celui de gauche a été longtemps la mairie-école, comme le signale son fronton, avant d’être transformé en pharmacie au début des années 2000. La boulangerie, à droite, a conservé sa fonction." Le Progrès le 25/12/2016. |
(ladombes.free.fr) |
Vue actuelle - Google Earth - |
(ladombes.free.fr) |
Benoit boulanger aubergiste |
Recensement Manziat 1911 |
OZAN
La gare d'Ozan (Wikipedia) |
La voie ferrée dans le village (tramdelain.fr) |
- Google Earth -
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BOZ
Site de la commune
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Site
Mairie de BOZ
"La gare de Boz, les habitants connaissent le quartier, mais plus rien ne subsiste de l’infrastructure ferroviaire. C’est en 1892, que l’enquête publique a été lancée pour l’établissement de la ligne de Tramway à vapeur reliant Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes. A l’époque, le conseil municipal de Boz ne montra pas un enthousiasme débordant. La ligne passait à plus d’un kilomètre du bourg. Le projet d’une longueur de 80,623 kilomètres vit néanmoins le jour et permit des relations plus rapides. C’est la société économique des chemins de fer du sud-est qui gérait la ligne. Il ne fallait néanmoins pas être pressé. Pour déjeuner à Trévoux et arriver pour midi, il fallait partir de Boz à 07h08. En partant de Boz, on pouvait aussi se rendre à Saint-Laurent-lès-Mâcon (aujourd’hui St Laurent sur Saône) ou Bourg-en Bresse en changeant de train à La Madeleine (Replonges). Dans l’autre sens, pour rejoindre Saint-Trivier-de Courtes, on comptait un peu moins d’une heure, ce qui reste raisonnable. La voie franchissait, à l’entrée de Pont-de-Vaux, le pont des Cordeliers, pour atteindre la gare de Gorrevod, sur la place Legrand. Elle traversait ensuite sur toute sa longueur la rue principale de Pont-de-Vaux pour enfin atteindre la gare de la Grenette, sur l’actuelle place Joubert. A Pont-de-Vaux, il était possible de correspondre avec un train en direction de Fleurville. Le chemin de fer a disparu, les automobiles sont arrivées et la place de la gare est devenue une aire de stationnement pour convois exceptionnels. Parmi ces convois, parfois un tram ou une rame de métro s’arrête, et la nostalgie surgit…." |
Vue actuelle |
GORREVOD
tramdelain.fr A l'entrée de Pont de Vaux la voie traversait le pont des Cordeliers et arrivait Place Legrand où se trouvait la gare de Gorrevod. |
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Vue actuelle - Google Earth - |
lejardindelareyssouze.com |
PONT DE VAUX
CPArama |
Vue actuelle - Google Earth - |
Archives de l'Ain (La Grande rue avec le voie du tram - sens : direction Gorrevod) |
Vue actuelle - Google Earth - |
Archives de l'Ain |
Vue actuelle - Google Earth - |
Archives de l'Ain |
Vue actuelle - Google Earth - |
Archives de l'Ain |
Vue actuelle |
Archives de l'Ain |
Vue actuelle |
01.saintbenigne.info |
Vue actuelle |
Source Wikipedia
: La ligne de tramway à vapeur de Pont-de-Vaux à Fleurville, commune située dans le département de Saône-et-Loire, a été concédée par l'État à la ville de Pont-de-Vaux par décret du 17 juin 1897 pour être rétrocédée à M. Cornillon en vertu d'une convention du 20 avril 189716. L'exploitant, la Compagnie Anonyme du Tramway de Pont-de-Vaux à Fleurville (TPF), ouvre la ligne le 11 décembre 1900, longue de 5 km (dont un en Saône-et-Loire) et construite à voie métrique, afin de raccorder la ville de Pont-de-Vaux à la gare de Pont-de-Vaux-Fleurville (PLM), située à Fleurville, sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles. La ligne s'écarte de la gare de Fleurville, franchit la Saône sur un pont reconstruit à cette occasion, puis longe le canal de Pont-de-Vaux, et le franchit à deux reprises, au-dessus de l'écluse et à l'entrée du port de Pont-de-Vaux. Entre les deux, la ligne était établie sur la petite levée du canal, parallèlement à celui-ci et à la route sur l'autre rive. À la gare de Fleurville se trouvait également le terminus d'une autre ligne de chemin de fer secondaire, le Tacot de Fleurville, reliant, en 35 km, cette ville à Mâcon. Les deux lignes n'étaient pas physiquement reliées, mais les voyageurs pouvaient passer d'un réseau à l'autre. Des études pour raccorder les deux lignes secondaires furent menées, mais n'aboutirent pas pour des raisons économiques, interdisant de fait au tramway d'assurer un trafic marchandises. À Pont-de-Vaux, la ligne était connectée à la ligne de l'ESE reliant Saint-Trivier-de-Courtes à Trévoux. La ligne est intégrée le 1er avril 1920 à la Régie départementale des tramways de l'Ain , puis fermée définitivement le 15 avril 1936. En mai 1914, la ligne était parcourue par 11 trains dans chaque sens (dont un uniquement les jours de foires et marchés) en 18 minutes. Ils marquaient trois arrêts intermédiaires, l'un à Reyssouze et les deux autres de part et d'autre de la Saône, au pont de Fleurville. La compagnie ne disposait pas de bâtiments pour les gares. Son terminus de Fleurville était sur la route située devant la gare de Pont-de-Vaux-Fleurville (PLM) et, sur la place de Pont-de-Vaux, où elle partageait un kiosque de vente avec l'ESE dans les halles du marché Le Préfet notait en 1909 que « l'exploitation de cette ligne donne lieu à de nombreuses réclamations notamment en ce qui concerne les retards et les correspondances des trains. Cette situation est due à l'insuffisance du nombre des machines qui ne permet pas toujours d'effectuer en temps utile les réparations nécessaires ». La situation s'aggrave, et le Préfet indique au Conseil général que, « en raison du mauvais état de la voie et des machines, l'exploitation de cette ligne s'est effectuée en 1909 dans des conditions déplorables et a dû être interrompue le 25 juillet 1909 à la suite d'un déraillement survenu sur le pont métallique de la Saône à Fleurville. Des trois machines que possédait la Compagnie, "l'une était au levage et n'avait plus d'essieux utilisables, la seconde à la suite d'un accident avait un essieu faussé et se trouvait en réparation ; quant à la troisième, elle fut mise hors d'usage après le déraillement précité sur le pont de Fleurville" »26. L'équilibre économique de l'exploitation est délicat, et en 1905, 1906 et 1908,1909, 1910, les dépenses excèdent les recettes. L'État et la commune évoquent dès 1910 une déchéance du concessionnaire, à la suite du déraillement du 25 juillet 1909. La compagnie est effectivement mise sous séquestre par arrêté du 5 octobre 1909, qui nommait le chef des services de l'exploitation de l'ESE administrateur du séquestre. La commune de Pont-de-Vaux rachète la concession en 1913, et en confie l'exploitation à titre définitif à l'ESE. |
SAINT BENIGNE
tramdelain.fr .... Suivant sa voie vers St-Trivier le tacot, qui desservait absolument toutes les petites communes traversées, s’arrêtait à la gare de Saint-Bénigne, pratiquement en face du café-restaurant Lacroix devenu, depuis, "Le Saint-Bénigne". Extrait article. |
01.saintbenigne.info - article 24/01/2016 - (cliquer sur l'image pour lire l'article) |
CHAVANNES SUR REYSSOUZE
tramdelain.fr |
Vue actuelle (incertitude su le lieu) - Google Earth - |
SAINT TRIVIER DE COURTES
tramdelain.fr |
Vue actuelle - Google Earth - |
Archives départementales de l'Ain |
Vue actuelle - Allée de la gare - Google Earth - |
Archives départementales de l'Ain |
Vue actuelle - Google Earth - |
LES SOURCES
Les reproductions de cartes postales
proviennent des archives départementales de l'Ain et de recherches sur internet.
En ce qui concerne les recherches sur internet il a été indiqué dans la mesure
du possible le site où les cartes postales se trouvent.
Certaines peuvent se retrouver sur plusieurs sites différents.
Les informations fournies sont disponibles également sur certains sites :
- www.tramdelain.org
- www.ladombes.free.fr
- www.cparama.com
- www.en-noir-et-blanc.com
- www.trains-fr.org
Utilisation de Google Earth pour la localisation actuelle.