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SAIVE Gustave
Jean
Ses origines
Gustave SAIVE est né le 29/09/1882 à Trévoux Grande rue.
Son père Charles avait 40 ans et était cordonnier.
Sa mère Claudine née PRIOLAT avait 34 ans.
Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Gustave SAIVE mesurait 1.73 m; il avait les cheveux brun et les yeux
marron.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et
compter.
Sa vie avant la guerre
Recensement Trévoux 1896 - Grande rue -
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Gaspard né le 19/01/1870.
Recensement Trévoux 1901 - Grande rue -
Au moment du conseil de révision Gustave SAIVE exerçait le métier de
lapidaire.
Sa mère était décédée.
Il est ajourné 1 an en 1903 puis 1904 pour faiblesse.
Il est affecté aux services auxiliaires en 1905.
Gustave SAIVE se marie à Trévoux le 31/05/1905 avec Françoise Léonie
LACHAL demeurant et née à Trévoux le 30/07/1887 (décédée à Trévoux le
1/03/1972).
Recensement Trévoux 1906 - Rue du port -
Recensement Trévoux 1911 - Rue du port -
- Marius né à Trévoux le 18/06/1913; décédé à Trévoux rue du Port le
7/03/1920.
- Claudia Fanny née à Trévoux le 17/11/1906; marié à Trévoux le 20/06/1927
avec Jean Marie Antoine BERTRAND.
En 1914 il s'installe Caluire au 88 rue Saint Clair puis à Lyon au
57 rue Franklin.
Recensement Trévoux 1921 - Rue du port -
La guerre
Gustave SAIVE est classé service armé le 23/11/1914.
Il est incorporé au 23e RI 5e compagnie le 14/12/1914.
Il est tué le 25/12/1915 à l'Hartmannswillerkopf.
Son acte de décès précise que le lieu d'inhumation est inconnu.
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Historique du 23e RI |
dont extraits : Jusqu'a la fin de 1915, le 23e reste dans la même
région, menant la rude vie des tranchées, tantôt à La Fontenelle, tantôt
au bois du Palon. Cette période n'est plus marquee par aucune opération
active. Cependant la lutte est toujours très dure ; l'ennemi poursuit sa
guerre de mine ; ses grenades et ses torpilles nous causent
journellement des pertes ; mais nous avons repris l'ascendant sur lui et
les leçons reçues les 8 et 24 juillet ont été profitables ; les Poilus
du 23, inspirent aux Boches une terreur salutaire et l'ennemi ne se
risquera plus 'à tenter de nous déloger de la position de La Fontenelle
qu'il considère désormais comme inviolable.
Extraits des pertes du 23e RI
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