Villeneuve
(Accueil)

BAILLET Victor Maurice
BRUN Jean
DUPLESSIS J L Benoit
DUPONT Jean
FARINET Joanny
FAYE Jean
FRAY Jean François
GALLET Claude
GEOFFRAY Pierre
GUILLON Pierre
KAUFMANN Emilien Elie
LAMARCHE Louis
LAPIERRE Antoine
MAZUY Benoit
MELINAND Antoine
MELINAND Benoit
MICHEL Joseph
PARRON Claude
PEILLIN Jean
PERRET Claude
PETIT Claude
PREMILLIEUX Claude
RAMUET Benoit
RAMUET François
RECONDU Aimé
RIOUFRAY Pierre
RUY Antoine
SAINT-CYR Isaac
SANDRON Benoit
SEVE Claude
STIVAL Benoit



 

 

PEILLIN Jean Michel


Ses origines

Jean Michel PEILLIN est né le 21/08/1891 à Frans.
Son père Benoit avait 38 ans et était cultivateur.
Sa mère Marie Claudine née DIBILLY avait 28 ans.
Ses parents se sont mariés le 20/02/1884 à Villeneuve.

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Michel PEILLIN mesurait 1.71 m; il avait les cheveux noir et les yeux roux.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.

Sa vie avant la guerre


Recensement Villeneuve 1901 - Le Village -


Recensement Villeneuve 1906 - Le Village -

Au moment du conseil de révision Jean Michel PEILLIN était militaire.
Son père était décédé à Frans le 5/02/1894.
Il est engagé volontaire pour 3 ans à la mairie de Bourg le 24/12/1910 au titre du 2e régiment de Dragons.
Il et libéré le 24/12/1913 et se retire à Villeneuve.


Liste électorale Villeneuve 1914.


Recensement Villeneuve 1921 - Le Village -

La guerre

Jean Michel PEILLIN est mobilisé le 2/08/1914 au 23e RI.
Il décède de ses blessures le 3/01/1915 à l'hôpital militaire de Saint Dié.
Il est inhumé à la nécropole nationale Les Tiges à Saint-Dié-des-Vosges (Vosges) tombe Carré A Numéro 255

Historique du 23e RI

dont extraits : Dès le 4 novembre, le Régiment reposé, réorganisé, ayant comblé ses lourdes pertes par l'incorporation de jeunes soldats de la classe 1914, reprend la garde du secteur Ban-de-Sapt - montagne d'Ormont.
L'ennemi a perfectionné ses organisations et s'est rapproche de nos lignes, notamment au Battant de Bourras, à Launois et à, La Fontenelle qui deviennent rapidement des points de friction délicats et pénibles à garder. Bombardements, patrouilles et coups de plain tentés par l'un ou l'autre des deux adversaires se succèdent avec régularité, causant parfois des pertes sévères, nécessitant toujours une vigilance extrême et une activité constante.



Extrait des pertes du régiment