PELLETIER Antoine
Ses origines
Antoine PELLETIER est né le 25/01/1876 à Lurcy.
Son père Antoine avait 34 ans et était cultivateur.
Sa mère Louise née JOLY avait 26 ans.
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Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Antoine PELLETIER mesurait 1.67 m; il avait les cheveux et les yeux
châtains.
Au niveau instruction générale il est classé 1 2 3 : sait lire écrire et
compter.
Sa vie avant la guerre
Recensement Lurcy 1896 - Cailleton -
Sa fiche du conseil de révision indique la profession de cultivateur.
Antoine PELLETIER est incorporé le 16/11/1897 au 44e régiment d'infanterie.
Il est libéré le 22/09/1900.
Antoine PELLETIER se marie
le 9 janvier 1904, Vaux en Beaujolais (69), avec Jenny PERREON, née
le 5 mars 1878 - Vaux en Beaujolais (69).
Il réside à Vaux à partir du 14/04/1905.
Ses parents sont toujours à Lurcy avant guerre.
Recensement 1911
Voir la fiche de
GARNIER Benoit
(Montmerle)
Recensement Vaux en Beaujolais 1911 - Le bourg -
La guerre
Antoine PELLETIER est mobilisé le 3/08/1914 au 55e régiment territorial d'infanterie.
Il passe au 215e régiment d'infanterie le 19/12/1915.
Il disparait dans l'explosion des carrières de Bernagousse au sud de
Barisis le 12/03/1918.
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Historique du 215e régiment d'infanterie. |
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Barisis aux bois : explosion des carrières de
Bernagousse (Barisis). |
dont détails :
"En 1917, la ligne Hindenburg, vaste réseau de tranchées et de
fortifications derrière laquelle les troupes allemandes se sont
retranchées passe à Barisis. Dans le bois des Lentillières, un réseau de
tranchées et des casemates sont encore visibles.
Avant leur retraite en 1917, les Allemands font sauter tous les édifices
publics et la plupart des maisons.
Les combats s’intensifient en 1918 entre les Allemands retranchés
derrière la ligne Hindenburg et les troupes françaises en face dans le
bois de Coucy et au lieu dit de Bernagousse. Douze soldats du 215ème
Régiment d’infanterie sont tués le 12 mars 1918 dans cette carrière où
avait été aménagée une infirmerie: Baptiste Bonnery, brancardier,
Auguste Chavard , Raymond Reithes, Charles Flamies,
Antoine Pelletier, Jean
Rouyssères (capitaine), Firmin Bouisset, Jean Gros, Pierre Cathala,
Louis Jeantet, Louis Darras (sergent-major) et un inconnu."
J M O du 215e RI (mars 1918)
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