BEAUDET Pierre
BRENON Antoine
BURTIN Jean Marie
CARRUGE J. Marie. J.
CURTET J. Claude
DE GURGY L. Hubert
FAVRE Claude Benoit
GENETIER François. M.
GOIFFON Pierre
GOURMOUD J. Claude
HUMBERT Benoît
MARTIN Jean Claude
MONTCENY Benoît. E.
MONTFORT Antoine
MONTFORT J. Claudius
PAGE C. Gustave
PELLETIER J. Claude
PERNODET Jean
 

PELLETIER Jean Claude


Ses origines

Jean Claude PELLETIER est né le 30/06/1890 à Garnerans.
Son père Claude avait 50 ans et était cultivateur.
Sa mère Antoinette née PERRAUD avait 38 ans.

 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Claude PELLETIER mesurait 1.67 m; il avait les cheveux châtain et les yeux orangé verdâtre.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.

 

Sa vie avant la guerre
 

Recensement Garnerans 1896 - hameau de Romans -

Jean Claude PELLETIER avait une soeur Jeanne Marie née le 17/08/1885, mariée à Garnerans le 23/10/1904 avec Antoine PERRAUD né à Illiat le 16/02/1879.

Au moment du conseil de révision il exerçait le métier de cultivateur.
Il est incorporé au 133e RI à compter du 10/10/1911.
Il est libéré le 8/11/1913.
 

La guerre

Jean Claude PELLETIER est mobilisé le 2/08/1914 au 133e RI.
Il est blessé par éclat d'obus au genou droit du 27 au 28/12/1914 aux environs de Saint Dié.
Il décède le 16/01/1915* à l'hôpital Saint Charles à Saint Dié (blessures de guerre).
Il est inhumé à la nécropole nationale 'Les Tiges' Saint-Dié-des-Vosges (88 - Vosges) tombe 260

* la fiche matricule fait état d'un décès le 26/01/1915.

Historique 133e régiment d'infanterie

dot extraits : Fin décembre 1914, la lutte reprit violente pour la possession du plateau de la Fontenelle. Nous eûmes d'abord quelques avantages (prise de la tranchée Daubard par le 2e bataillon), mais ensuite l'ennemi, renforcé considérablement en moyens matériels et en artillerie, tirée de la place de Strasbourg, commença le siège" méthodique de la position : ouverture de parallèles, progression à la sape et à la mine, coups de mains hebdomadaires, et en même temps bombardement continu pour raser le bois qui lui cachait l'organisation du plateau, disloquer les travaux de défense et empêcher de les réparer, rien ne fut épargné. Le Ier bataillon du 113e fut rappelé à la Fontenelle, en février 1915, pour relever un bataillon du 23e.