Guereins
(Accueil)

BERTHEAUD Claude
BREVET Jean Marie
CHARRIN Antoine
DANJOUX Jean Baptiste
DEBUIS Claudius
DENIS Georges
DESCOMBES Claude
DUC Jean Marie
FALCONNET J.C
FRÈREJEAN Louis
GIROUD Jean Marie
GOLLIARD Jean Marie
GRANGE Sébastien
GUEDET Jean Marie
LAMARCHE Félix
LARGE Louis
LONGIN François
MARION Auguste
MARION Benoit
MATHON Pierre
NIERMONT Gabriel  
PONCET Claude Joseph
PRUDON Jean Louis
REVERDY Louis
ROCHE Jean Louis
SEILLER Léon
SÈVE Stéphane
THEVENET Alexandre
THEVENIN Louis
VALLET Jean Marie
VINTEJOUX Jean
 

 

THEVENET Alexandre


Ses origines


Alexandre THEVENET est né le 6/11/1896 à Genouilleux.
Son père Benoit avait 35 ans et était marchand drapier.
Sa mère Jeanne née LOUP avait 25 ans et était tailleuse en robes.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Alexandre THEVENET mesurait 1.75 m; il avait les cheveux châtains et les yeux jaune.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre


Recensement Guéreins 1901.

Alexandre THEVENET était célibataire.
Sa fiche du conseil de révision indique la profession d'employé de commerce.
Il habite alors à Guéreins.


Recensement Guéreins 1911 - La Guillotière -

 - Laurent né le 17/08/1901 à Guéreins; décédé le 4/06/1928 à Guéreins.


Cimetière de Guéreins Carré 3 tombe 57

 

La guerre

Alexandre THEVENET est incorporé le 9/04/1915.
Il passe au 44e RI le 19/03/1916 puis au 132e RI le 3/07/1916.
Il est blessé le 10/10/1916 à Bouchavesnes (plaies aux cuisses et au bras gauche par des éclats d'obus).
Il décède de ses blessures à Etinehem (Somme) à l'ambulance 3/64 le 11/10/1916.

Historique du 132e régiment d'infanterie

dont extrait :

le 24 et le 25 septembre, il se porte en ligne et va arrêter l’ennemi sur la ligne Epine de Malassise, ferme du bois Labbé à la route de Péronne-Bouchavesnes. Sa mission est de former une barrière pour fixer l’Allemand sur le pivot de l’immense champ de bataille de la Somme. Il s’agit de creuser des tranchées, de poser des fils de fer et d’organiser un système de défense sous un marmitage effroyable et incessant. L’ennemi s’applique à arrêter, à détruire nos travaux, il cherche à reprendre le terrain en contre-attaquant ; ses efforts sont vains ! Quand le 132e est relevé, le 20 octobre après 20 jours d’occupation, la barrière est constituée, le secteur est organisé au prix de combien de sacrifices, de combien d’efforts ! Le chiffre des pertes est éloquent, la terre remuée, les défenses accessoires placées, les coups de mains entrepris, toutes les contre-attaques brisées en témoignent !



 

Cimetière de Guéreins
Cliquez sur l'image pour agrandir

Cimetière de Guéreins
Cliquez sur l'image pour agrandir