ALBAN Jean Louis
BAS J.
BAS M.
BODILLARD A.
BODILLARD M.
BONNE C.
BONTEMPS F.
BROYER François
CHEVRY Jean Louis
CIZAIRE J M.
DE LA PERRIERE P.
DRUT C.
DRUT J.
DUROUX A.
FONTANEL B.
FONTANEL J.
FONTANEL V.
GOYON Joseph Louis
LONGEPIERRE L.
MADRUT J.
MARGUIN A.
MONNIER Michel Louis
MONTERRAT J.
MONTERRAT L.
NEVEU L.
PAGNON François Louis
POUILLAT B.
ROUX J L.
TANTON A.
THEVENET J M.




 

MARGUIN Jean Auguste


Ses origines


Jean Auguste MARGUIN est né 10/05/1891 à Replonges au hameau de Mons.
Son père Benoit avait 33 ans et était cultivateur.
Sa mère Jeanne Marie née BERNOLIN avait 30 ans.
 

Signalement

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Sa vie avant la guerre



Recensement Replonges 1896 - Mons -

 - Claude Benoit né le 4/04/1888 à Saint Cyr sur Menthon; a vécu à Laiz et à Biziat après la guerre; marié le 20/11/1913 avec Joséphine MEURE.
 - Benoite née le 31/08/1889; décédée à Saint André d'Huiriat le 9/12/1972.

Recensement Saint André d'Huiriat 1906 - Chapeland -

 - Julie Françoise née le 24/04/1900.

Au moment du conseil de révision Auguste MARGUIN exerçait le métier d'agriculteur.
Il est exempté en 1912 pour faiblesse générale.

La guerre

Le conseil de révision du 30/10/1914 le déclare apte au service.
Il est incorporé au 44e RI le 8/11/1914.
Il passe au bataillon de marche du 60e RI le 5/02/1915 puis au 101e RI le 21/03/1915.
Il est tué le 5/08/1915 à la ferme de Constantine dans le secteur de Baconnes.

Historique du 101e régiment d'infanterie

dont extraits : Le régiment a deux bataillons en ligne : l'un au « Bois Noir », l'autre au « Bois Triangle », ce dernier ayant la garde de la ferme de Constantine ; un bataillon est au repos à Mourmelon-le-Petit. Les quatre sections de mitrailleuses sont en batterie dans chaque point d'appui. Le P. C. du colonel est à la ferme de Moscou. Durant les mois de juin, juillet, août et commencement de septembre, les hommes du régiment seront encore occupés aux nombreux travaux d'aménagement du secteur. On profite du calme relatif de l'ennemi pour se fortifier. On crée les centres de résistance entourés de défenses accessoires très denses. On multiplie les abris, on commence les abris-cavernes, on songe aux abris bétonnés pour mitrailleuses et organes de flanquements ; on se préoccupe des observatoires.

Extraits JMO du 101e RI