Misérieux
(Accueil)

BACOUD Victor
BERGE Jean Claude
BILLARD Claude
BRANCIOT Pierre
BRIEL Eugène
COINTY Claude
DENIS Claude
DIENNET Claude
DIENNET Claudius
DIENNET Michel
DUTANG Claude
DUTANG Etienne
FRAY Louis
GUILLOT Jean
HARDY Antoine
JOSSON Claude Antoine
LONGEFAIT Antoine
LUIZY Benoit
LUIZY Etienne
LUIZY François
MILLET Victor
ORGERET Gaspard
PERCET Benoit
PERRAUT François
POUPON Claude
ROZIER Pierre
SANDRIN Pierre
VERRIER Etienne
VIVIER Antoine
VIVIER Florentin



 

 

LUIZY Etienne


Ses origines

Etienne LUIZY est né le 24/07/1887 à Misérieux.
Son père Louis avait 26 ans et était cultivateur.
Sa mère Claudine née FRAY avait 24 ans.
Benoit, Etienne et François LUIZY étaient frères.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Etienne LUIZY mesurait 1.70 m; il avait les cheveux et les yeux brun.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Misérieux 1896 - Le Chanay -

 - Louis Benoit né à Misérieux le 2/04/1899; marié à Misérieux le 7/01/1922 avec Marie Louise CHAGNEUX.




Recensement Misérieux 1906 - Grange basse - (Etienne LUIZY est domestique chez Claude LAURENT).


Au moment du conseil de révision Etienne LUIZY exerçait le métier de cultivateur.
Il est incorporé au 42e RI le 7/10/1908.
Il est libéré le 25/09/1910.
En 1911 il réside à Chaleins puis revient à Misérieux en 1912.


Liste électorale Misérieux 1913.
 

La guerre

Etienne LUIZY est mobilisé le 3/08/1914 au 223e RI.
Il décède de ses blessures le 8/10/1915 à Reillon (Meurthe et Moselle).

Historique du 223e RI

Dont extraits : Les Allemands, malgré leurs échecs précédents, n’avaient pas renoncé à la conquête du terrain perdu en juin. Le 8 octobre, dans la matinée, ils déclenchent une préparation d’artillerie d’une violence inouïe, accompagnée de gaz lacrymogènes. Grace à l’emploi de ces derniers, l’ennemi réussit à s’emparer du bois Seppelin et du bois Bouet, d’où une contre-attaque immédiate ne put les déloger complètement. Le capitaine de MAISTRE fut tué dans l’action, le sous-lieutenant d’URBAL, gravement blessé, est resté aux mains de l’ennemi. Ce fut le commencement d’une lutte âpre et dure, qui se prolongea durant plusieurs semaines de tranchée en tranchée, sans modifier beaucoup les positions respectives des adversaires. Le mauvais temps y mit un terme.
Extrait JMO du 223e RI
1

2

 
3

4



Extrait de l'état des pertes de la 21e compagnie le 8/10/1915.