Saint Etienne / Reyssouze
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GIRAUDON Jules Alphonse


Ses origines

Jules Alphonse GIRAUDON est né le 9/04/1888 à Saint Etienne sur Reyssouze au Biolay.
Son père Marie Jules Baptiste avait 31 ans et était cultivateur.
Sa mère Mélanie née MOREL avait 20 ans.


 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jules Alphonse GIRAUDON mesurait 1.72 m; il avait les cheveux châtain et les yeux roux.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint Etienne sur Reyssouze 1901 - Le Biolay -

 - Léon né le 28/03/1895 à Saint Etienne sur Reyssouze au hameau du Biolay; décédé le 12/10/1965 à Lyon 4e.
 - Maria Léontine née le 1/03/1898 à Saint Etienne sur Reyssouze au hameau du Biolay; mariée le 12/01/1920 à Saint Etienne sur Reyssouze avec Marie Clément Paul FAVIER.


Au moment du conseil de révision Jules Alphonse GIRAUDON exerçait le métier de valet de chambre.
Il est incorporé le 7/10/1909 au 23e RI.
Il est libéré le 24/09/1911.

Jules Alphonse GIRAUDON était célibataire.


Liste électorale Saint Etienne sur Reyssouze 1914.
 

La guerre

Jules Alphonse GIRAUDON est mobilisé le 2/08/1914 au 172e RI.
Il est blessé le 2/10/1914.
Il passe au 15e bataillon de chasseurs le 22/09/1915.
Il est blessé le 25/12/1915.
Il décède de ses blessures le 1/01/1916 à l'hôpital temporaire des Sources à Bussang (Vosges).
Il est inhumé à la Nécropole Nationale d'Épinal (88 - Vosges) tombe 1267.

Historique du 15e bataillon de chasseurs à pied

dont extraits : Le 20 septembre, c'est sur l'Hartmannswillerkopf que, pour reprendre les positions enlevées à un régiment voisin, les 2e et 3e compagnies précédées d'une section du génie comme cisailleurs, s'élancent; arrêtées par un violent barrage de grenades, elles se cramponnent au sol, font des barrages de sacs à, terre et, , malgré le manque de munitions, ne perdent pas un pouce de terrain. Le 15 octobre, le régiment occupant le secteur de Rehfelsen perd quelques éléments de tranchées. Les 4e et 6e compagnies du 15e, alors au repos, contre-attaquent et, malgré une résistance acharnée de l'ennemi, reprennent la majorité du terrain.

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Le 21 décembre, les 3e, 5e et 1re compagnies s'élancent à.l'assaut du Rehfelsen. La 1re, dont le chef vient d'être enterré par un obus, tournoie un moment, puis reprend le mouvement et s'empare d'une mitrailleuse; les trois compagnies s'installent dans la deuxième ligne allemande. La 6e compagnie, prise dans des réseaux, est violemment mitraillée et le capitaine AMIC tombe en tête de sa troupe: ses chasseurs le vengent, prennent une mitrailleuse et font 60 prisonniers. Le soir, la position est retournée ; 100 prisonniers dont 3 officiers restent entre nos mains.
Le lendemain, une contre-attaque violente refoule les éléments avec qui le bataillon est en liaison à, droite. Toutes les unités du 15e renforcent la ligne; trois contre-attaques successives de l'ennemi restent vaines et laissent le terrain en notre pouvoir.
Désormais, lé 15e va tenir successivement les secteurs du sud de l'Hartmannswillerkopf et du Reichaker, travaillant, patrouillant sans relâche.

JMO du 15e BCP - 24/12/1915.







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