BUFFY Jean Claude
Ses origines
Jean Claude BUFFY est né le 17/09/1883 à Pont de Vaux au Petit faubourg.
Son père Jean avait 38 ans et était journalier.
Sa mère Claudine née SIBELLE avait 27 ans et était cultivatrice.
Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Claude BUFFY mesurait 1.67 m; il avait les cheveux châtain et les
yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 1 2 : sait lire et écrire.
Sa vie avant la guerre
Recensement Pont de Vaux 1891 - Maison rouge -
- Marie Claudine Elisa née à Pont de Vaux le 10/10/1887; mariée le
15/10/1908 à Pont de Vaux avec Jena Marie PEYRATOUT; décédée le
16/03/1978 à Pont de Vaux.
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Marie Claudine née le 18/11/1876 à Bagé la Ville; mariée à Pont de
Vaux le 3/12/1896 avec Joseph COCHET.
- Françoise Claudia née le 16/12/1881 à Pont de Vaux; mariée à Pont de
Vaux le 5/04/1905 avec Georges François FATTIER; décédée le 8/10/1954 à
Pont de Vaux.
Recensement Pont de Vaux 1901 - Place Legrand -
Au moment du conseil de révision Jean Claude BUFFY exerçait le métier de
cultivateur.
Il est incorporé au 23e RI le 15/11/1904.
Il est libéré le 13/07/1907.
A partir de 1910 il réside dans la région parisienne :
- Montreuil 10 rue Barber (1910),
- Saint Ouen 70 avenue Michelet chez ALBIN (1910),
- Paris 18e rue Belliard (1912),
- Paris 52 rue Coriolis (1914).
Jean Claude BUFFY se marie le 21/10/1911 à Paris 12e avec Clotilde Marie
MAUCO.
La guerre
Jean Claude BUFFY est mobilisé le 3/08/1914 au 23e RI.
Il est tué à Saint Jean d'Ormont (Vosges) le 24/11/1914.
Il est inhumé au Carré militaire de SAINT-JEAN-D'ORMONT tombe 67.
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Historique du 23e RI |
dont extraits : Dès le 4 novembre, le Régiment reposé, réorganisé,
ayant comblé ses lourdes pertes par l'incorporation de jeunes soldats de
la classe 1914, reprend la garde du secteur Ban-de-Sapt - montagne
d'Ormont.
L'ennemi a perfectionné ses organisations et s'est rapproche de nos
lignes, notamment au Battant de Bourras, à Launois et à, La Fontenelle
qui deviennent rapidement des points de friction délicats et pénibles à
garder. Bombardements, patrouilles et coups de plain tentés par l'un ou
l'autre des deux adversaires se succèdent avec régularité, causant
parfois des pertes sévères, nécessitant toujours une vigilance extrême
et une activité constante.
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