Saint Etienne
(Accueil)

BARBET Louis
BARRET Claude
BAS Claude
BATAILLARD Antoine
BERGER Jean Claude
BERTHIER Jean Claude
BROYER Aimé Maurice
BUCHAILLE Pierre
CHARBONNEL Jean
CORNIER Etienne
CRUD Claude
CUZIN Jean Marie
DALMET Charles
DE CLAVIERE Joseph Pierre
DEPIAT Benoit Philibert
DURET Antoine
FALCONNET Jean Claude
FROMENT Claude
FROMENT Jean
GATY Jean Marie
GIMARET Claude
GIMARET Philibert
GOIFFON Joseph Jean Pierre
GOLLIARD Edouard
GUERIN François
GUERRIER François
GUILLON Jean
GUILLON Michel
JOLY Joseph Marius
MANIN Jean
MARGUIN Etienne
MEILLIER Jean Marie Henri
MERLE Jean
MOLLETON Jean
MONTRADE Jacques
MOULLOUD Benoit
PERNALON Claude
PERRET Jean Claude
PIROUD Alexandre
PRAVIEUX Joanny Benoit
REVEL François
RIGAUD Antoine
ROGNARD André
ROZIER Claude
SALLET Joseph
SALLIN Étienne
SALLIN Félix
TAPONAT François
TRICHARD François
VALERON Joseph
VIGOUREUX Antoine

 

BROYER Aimé Maurice


Ses origines

 

Aimé Maurice BROYER est né à Saint Didier sur Chalaronne le 4/03/1895 au bourg.
Son père Aimé avait 26 ans et était cultivateur.
Sa mère Françoise née BATAILLARD avait 30 ans et était matelassière.
 

Signalement


Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Aimé Maurice BATAILLARD mesurait 1.75 m; il avait les cheveux noir et les yeux marron.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre

 


Recensement Saint Didier sur Chalaronne 1911 - Le bourg -

Son frère Jean Marie né le 14/01/1897 s'est marié le 22/05/1920 à Cesseins avec Jeanne ?; il décède à Relevant le 22/03/1955.
Au moment du conseil de révision il exerçait le métier de valet de chambre.
 

La guerre
 

Aimé Maurice BROYER est incorporé au 172e RI à compter du 16/12/1914.
Il passe au 97e RI le 24/05/1915.

Il est tué devant Souchez (Pas de Calais) entre le 10 et le 19/06/1915.

Les batailles de l’Artois

Au début de 1915, le généralissime Joffre décide d’une vaste offensive destinée à crever le front de l’ennemi : c’est la stratégie de « la percée à tout prix ».Le Général Foch réunit 15 divisions d’infanterie, 3 de cavalerie, 1 000 canons et 125 mortiers de tranchées.
La « bataille de l’Artois » débute le 9 mai 1915 par un bombardement visant à démolir les positions ennemies.
Durant des semaines, la bataille s’éternise en une multitude de combats acharnés pour s’emparer d’une partie seulement du périmètre fortifié allemand.
La résistance allemande étant trop forte, le général Foch arrête l’offensive le 24 juin.
Du 9 mai au 24 juin, pour conquérir 20 km2, les Français perdent 102 500 hommes (blessés, tués, disparus).