Saint Etienne
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CORNIER Etienne


Ses origines


Etienne CORNIER est né le 5/05/1890 à Saint Etienne sur Chalaronne au hameau de Montgizon.
Son père Etienne avait 27 ans et était cultivateur.
Sa mère Elisabeth née LAFORET avait 23 ans.


Hameau Montgizon
 

Signalement


Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Etienne CORNIER mesurait 1.64 m; il avait les cheveux roux clair et les yeux bleu.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre
 


Recensement Saint Etienne 1906 - Montgizon -

Au moment du conseil de révision il exerçait le métier de cultivateur.
Il est incorporé au 5e régiment d'artillerie de campagne de Besançon à compter du 10/10/1911.
Il passe dans la réserve active le 8/11/1913.
 

La guerre
 

Etienne CORNIER est mobilisé le 3/08/1914 au 5e régiment d'artillerie de campagne.
Il passe au 204e régiment d'artillerie à compter du 18/03/1917.
Il est promu brigadier infirmier en date du 10/07/1917 et passe au 54e RAC le 17/09/1917..
Il est dirigé le 28/12/1917 sur la 84e du 30e régiment d'artillerie de campagne.
Le 10/03/1918 il est affecté au 248e régiment d'artillerie de campagne.

Il est évacué le 31/05/1918 et rejoint son unité le 9/06/1918.
Il est tué au bois de Chevincourt (Oise) le 26/08/1918 par une bombe d'avion.
 
248e régiment d'artillerie de campagne


Détail
dont extraits :

La 58e division se rassembla le 18 août, près de Chevincourt, dans la région boisée, très accidentée et facile à défendre.

Une attaque, prononcée le lendemain, de grand matin, fut retardée dans sa progression par le feu des mitrailleuses. Nos fantassins, accrochés sur des positions intenables, regagnèrent, à la faveur de la nuit, les lignes de départ. Un nouvel assaut fut tenté le 21 dans la soirée. L'ennemi céda à cette pression opiniâtre et battit en retraite précipitamment.

Le 22 août, notre infanterie attaquait la Divette et s'emparait d'Evricourt. La division resta jusqu'au 27 août sur ses positions. Nos batteries, installées sur le massif d'Ecouvillon, qui domine la vallée de la Divette, ne cessèrent, durant ce temps, de harceler l'ennemi. On reçut, le 27 août, l'ordre d'attaquer face au nord, puis par un mouvement de conversion vers l'est, de poursuivre dans la direction du champ de manœuvre de Noyon.

 

   

Cimetière de Saint Etienne (groupe de 5 tombes)
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CORNIER Etienne
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