ROUX François
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Ses origines
François ROUX est né le 13/08/1891 à Vonnas au hameau de Namarie.
Son père Benoit avait 37 ans et était cultivateur.
Sa mère Victorine née BERNARD avait 41 ans.
Son père devenu veuf se remarie à Vonnas le 5/10/1900 avec Marie Benoite
ROZIER.
François et Jean Marie Maurice ROUX étaient frères.
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Signalement
Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment
du service militaire mais notait une description de chaque homme.
François ROUX mesurait 1.67 m; il avait les cheveux châtain et les yeux
orangé verdâtre.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et
compter.
Sa vie avant la guerre
Recensement Vonnas 1896 - Namarie -
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Alexandre Marie Benoit 1876 - 1957
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Jean Marie Hippolyte
- Marie Léontine née à Vonnas le 5/03/1885; mariée à Vonnas avec Pierre
BABAD; décédée à Mézériat le 7/02/1953.
- Michel Joseph né à Vonnas le 11/12/1888; marié à Vonnas avec
Marie Louise MICHAUD le 4/06/1914; décédé à Perrex le 2/05/1966.
Recensement Vonnas 1901 - Namarie -
Recensement Chalamont 1911 - 2e section -
Au moment du conseil de révision François ROUX exerçait le métier de
cultivateur à Chalamont.
Son père était décédé à Vonnas le 9/05/1906.
Son tuteur était Jean François Joseph ROUX son oncle résidant à Saint
Genis sur Menthon.
Il est incorporé au 44e RI le 8/10/1912.
La guerre
François ROUX disparait le 16/09/1914 à Autrèches.
Son décès sera fixé à cette date par le tribunal de Bourg le 11/08/1920.
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Historique du 44e RI |
Dont extraits : Le 44e poursuit l'ennemi sans lui laisser aucun
répit.
Le 12, il attaque des arrière-gardes qui couvrent le passage de l'Aisne,
les force à reculer et franchit la rivière à Vic-sur-Aisne ; toute la
division s'installe sur la rive droite. Les jours suivants, malgré de
furieuses contre-attaques allemandes, le régiment s'accroche aux
plateaux qui dominent la vallée de l'Aisne. Des combats incessants se
livrent, avec des alternatives d'avance et de recul, pour la possession
des ravins de Bout, de Vaux et d'Autrèche.
Dans la nuit du 13 au 14, le 1e bataillon, complètement cerné et séparé
du régiment, réussit, par des feux habilement conduits, à rejeter
l'ennemi sur les baïonnettes du 3e bataillon qui jette à terre une
grande partie des assaillants.
Le 20, au petit jour, les Allemands surprennent les unités en pleine
relève : un instant débordé, le régiment réussit à reprendre pied sur le
plateau de Sainte-Léocade où il s'établit solidement suivant les ordres
reçus.
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