Fareins
(Accueil)

BALLANDRAS Jean Marie
BERTHIER Eugène
BOISSON Louis
CARLES Jean
DENIS Claudius
DESCOMBES Claude
DESCOMBES François
DESCOMBES Nicolas
DESPLANCHES Benoît
DIENNET Claude
DUBIAT Jean
FALCONNET Claude
FARGET François
GARNIER Antoine
GRIVEL Jean
GUILLARD Jean
HAUTIN André
HAUTIN Etienne
LAURENCIN Claude
MARQUANT Eugène
MERCIER François
ODET Antoine
PETIT Jean Claude
PHILIPPON Pierre
POLLET Claude
RAYMOND André
RONZAU François
ROUSSET Benoit
ROUSSET Samuel
RUY Antoine
SEIGNERET Claude
THOMAS Louis
THOMASSON Joannes
THOMASSON Jules
TREMBLAY Eugène
TREMBLAY Francisque
USSEL Jean Pierre
VELUD Charles




 

 

CARLES Jean Etienne


Ses origines


Jean Etienne CARLES est né à Peyzieux le 2/10/1886.
Son père Jean avait 28 ans et était cultivateur.
Sa mère Clémence née CINY avait 25 ans.
 

Signalement

Le service des armées ne prenait pas de photos des militaires au moment du service militaire mais notait une description de chaque homme.
Jean Etienne CARLES mesurait 1.73 m; il avait les cheveux brun et les yeux roux.
Au niveau instruction générale il est classé 3 : sait lire écrire et compter.
 

Sa vie avant la guerre

Il était célibataire.
Sa fiche du conseil de révision indique la profession de cultivateur.


Recensement Genouilleux 1906 - hameau du Nord -

 - Claude né à Peyzieux le 29/09/1891; décédé à Genouilleux le 9/01/1957.
 - Marguerite née à Peyzieux le 9/06/1893.

Il est incorporé au 44e RI le 8/10/1907.
Il est nommé caporal le 25/04/1908 et sergent le 5/10/1908.
Il est libéré le 25/09/1909.

Il réside au hameau du Perrat à Fareins à partir du 29/12/1912.

 

La guerre


Jean Etienne CARLES est mobilisé le 3/08/1914 au 223e RI (20e compagnie).
Il est blessé au bras gauche le 5/09/1914 au combat de Rehainviller.

Il est cité à l'ordre du 2e groupe de division : "Blessé au bras gauche le 5/09/1914 par une balle a néanmoins assumé le commandement de sa demi section et n'a songé à se faire panser et soigner qu'après avoir passé le commandement de son unité à un de ses sous ordres. Proposé pour être évacué à l'arrière à refusé en demandant énergiquement à rejoindre sa compagnie."
Il est nommé adjudant le 25/06/1915.

Il est tué le 15/10/1915 au combat du Reillon.



Il a été cité à l'ordre de l'armée le 30/11/1915 :" S'est porté à la tête de son peloton au milieu d'un tir de barrage d'une violence exceptionnelle jusqu'à la deuxième ligne des tranchées ennemies qu'il a occupé. Est tombé en la défendant.
Médaille militaire : "Sous officier très énergique, patrouilleur intelligent et audacieux a maintenu ses hommes sous le feu à courte distance des tranchées ennemies solidement organisés dans des tranchées de circonstances qui au lever du jour avaient moins de 40 cm de profondeur.
Croix de guerre avec palme et étoiles.
Son nom figue également sur le monument aux morts de Genouilleux.





Extraits MO du 15/10/1915

 



 




Cimetière de Genouilleux
Cliquez sur l'image pour agrandir.